À mon époque, la proportion de filles en terminale S était de l’ordre de 50% environ dans mon lycée. Les filles réussissaient autant si ce n’est plus que les garçons. Elles avaient le sérieux et étaient studieuses. Bien sûr, loin de faire une généralité un cas particulier… Le lycée Élie Faure à Lormont « a produit » des élèves scientifiques (aujourd’hui technicien, ingénieur, médecin…) autant fille que garçon. Cependant, à cette époque il n’y avait aucune question de genre vis à vis des matières à enseigner.
Il faut donc poser le problème autrement.
Qu’est-ce qui n’attirent plus dans les matières scientifiques chez les filles ? Ou plutôt quelles sont désormais les matières en corrélation avec les centres d’intérêt des filles des temps d’aujourd’hui ?
